• L’IMPACT DES RESTRUCTURATIONS DE LA CHIMIE EN MOSELLE-EST SUR L’EMPLOI, LA FORMATION ET LES COMPÉTENCES

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  • Merci à Thibo57 ^^

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  • En quelques mois, trois principaux industriels de Moselle-Est, Total Petrochemicals France (TPF), ARKEMA et INEOS à Sarralbe ont annoncé plus de 400 suppressions de postes.

    A la demande du Ministre délégué à l’industrie, une importante étude prospective a été menée quant à l’avenir de la chimie en Moselle-Est. Ce travail a associé l’ensemble des acteurs économiques et sociaux du territoire.

    La réunion de lancement de cette réflexion s’est tenue le 20 septembre : il a été décidé la création de 4 groupes de travail qui ont eu pour mission de faire des propositions concrètes en faveur du maintien de l’activité chimique en Moselle-Est à long terme :

    • Enjeux industriels et sécurité des approvisionnements (co-pilotage DRIRE/ Ministère de l’Industrie/SGAR) : l’avenir industriel du secteur de la chimie en Moselle-Est est la préoccupation première des participants. Il s’agit dans ce groupe de travail d’en définir les contours stratégiques et les perspectives d’avenir.

    • Compétitivité des territoires et diversification économique (pilotage par l’AGEME) : la diversité économique du tissu économique est un élément clé du développement économique durable du territoire. L’objectif est de déterminer d’autres vecteurs de développement pour échapper à un paysage économique monolithique.

    • Compétitivité, recherche et développement (pilotage par le Pôle de Plasturgie de l’Est) : la création du Technoparc et le développement du Pôle de Plasturgie de l’Est dans le cadre d’ISEETECH sont des éléments clés de l’attractivité future du secteur. Il convient, pour faire de ce pôle technologique un véritable pôle économique, de définir les voies et moyens nécessaires pour attirer des entreprises innovantes du secteur.

    • Emploi et compétences (pilotage par le CES) : il s’agit tout d’abord de faire un état des lieux des besoins des entreprises locales et des formations correspondantes puis de décrire leur évolution pour mieux répondre à ces besoins afin de maintenir la compétitivité du secteur.

    Des remerciements tout particuliers vont à Mme Danièle BEHR, directrice de l’AGEME (Agence pour l’expansion de la Moselle-Est) ainsi qu’à MM. Gilbert KRAUSENER, du Conseil Économique et Social Régional de Lorraine, Gilbert PITANCE, délégué général du Pôle de Plasturgie de l’Est et Franck VIGNOT, de la DRIRE, pour leur implication et le pilotage des groupes de travail dans un temps très contraint.

    Les conclusions de l’étude ont été présentées à la préfecture de Région, le 11 janvier 2008.

    Les documents disponibles sont


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  • guydoyen.fr

    Le 24 janvier, la Royal Society de Londres s’est réunit pour discuter de la mise en place d’une nouvelle unité de mesure définie en termes de constantes fondamentales de la nature plutôt que basée sur un objet physique (un artefact).

    Les scientifiques cherchent une solution alternative au morceau de platine utilisé comme étalon du kilogramme. Cet étalon de platine a perdu 50 microgrammes depuis sa fabrication en 1879.

    Depuis plus d’un siècle, toutes les mesures de poids ont été définies par rapport à un morceau de métal siégeant à Paris. Le prototype international du kilogramme a été au coeur du commerce et de l’expérimentation scientifique depuis 1889 mais les experts veulent s’en débarrasser.

    Cet étalon est un cylindre de platine-iridium d’environ 39mm de haut et de 39mm de diamètre qui a été fondu par l’entreprise Johnson Matthey à Hatton Garden en 1879. Il a été ensuite remis au Comité international des poids et mesures de la ville de Sèvres puis poli et ajusté pour être égal en masse au Kilogramme des Archives de France datant de la révolution française. En 1889 il a été adopté par la première conférence générale des poids et mesures comme prototype international du kilogramme.

     

    Beaucoup d’autres unités scientifiques reposent sur la définition du kilogramme. Un newton de force par exemple est la quantité requise pour accélérer un kilogramme à un mètre par seconde. L’unité de pression, le pascal, est défini comme une force de un newton exercée sur une surface de un mètre carré.

    Le problème de l’utilisation d’un morceau de métal pour définir une quantité telle que le kilogramme est qu’il est susceptible de se modifier au cours du temps. Les mesures effectuées au cours du siècle dernier ont montré que ce prototype international a perdu environ 50 microgrammes (le poids d’un grain de sable).

    A la place de cela, les experts veulent relier le kilogramme à une unité de mesure fondamentale en physique quantique : la constante de Planck. En utilisant un appareil appelé « balance du watt », les scientifiques peuvent faire correspondre la masse d’un objet à l’énergie électrique nécessaire pour le déplacer, en utilisant la constante de Planck.

    Cette redéfinition mettrait le kilogramme sur la même ligne que les 6 autres mesures de base qui composent le Système international d’unités (SI), le mètre, la seconde, l’ampère, le kelvin, la mole et la candela. Aucune de ces 6 unités ne se base sur un objet de référence physique : le mètre est défini en termes de vitesse de la lumière, alors que la seconde est basée sur des horloges atomiques.

    Toute proposition de changement devra être adoptée par la Conférence générale des poids et mesures qui se réunira à Paris cette année.

    Source : The Guardian / Crédit image : BIPM


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  • Bien sûr, sa contenance est chiche puisque cette bouteille ne conient qu'une seule molécule d'eau. Mais c'est justement ce qui en fait le prix puisque c'est un Fullerène, un arrangement d'atomes de carbone en forme de récipient. Encore plus fort, l'équipe sino-germanique responsable de ce prodige a mis au point un bouchon en attachant une molécule de phosphate à l'extrémité ouverte de son fullerène. Lorsque le bouchon est mis, la molécule d'eau se retrouve emprisonnée. Une application possible serait dans le domaine de la "nano-galénique", avec un médicament encapsulé qui se libérerait une fois arrivé sur sa cible, évoque l'article publié dans Angewandte Chemie International Edition de novembre 2010.

    Ce Fullerène en forme de récipient contient une seule molécule d'eau

    H.R.

    Science et Avenir N°767

    Janvier 2011


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